Assale Tiémoko
Assale Tiémoko, député engagé, défend l’importance d’un travail parlementaire sincère et annonce sa mission de former les jeunes à l’engagement citoyen à travers le pays. Un combat pour un avenir plus responsable.
Abidjan, le 16 novembre 2025 (crocinfos)---Lors d’une récente formation, Assale Tiémoko a livré un discours plein de conviction, soulignant la nécessité de dépasser les préjugés et les idées reçues sur le rôle d’un député. Selon lui, certains critiques qui parlent de "récupération" ou de "populisme" ne peuvent simplement pas comprendre qu’un député puisse réellement se consacrer à son travail au service de la nation. Il dénonce l’idée trop répandue selon laquelle un député serait seulement un représentant d’un parti ou d’une ethnie, dont la mission se limiterait à applaudir, à voter sans discernement et à distribuer des cadeaux.
Pour Assale Tiémoko, son engagement va bien au-delà de cette vision réductrice. Il met en lumière les dangers personnels qu’il court dans ses actions, notamment lorsqu’il prend des positions fortes et mène des combats pour la population. "Ce n’est pas un jeu", confie-t-il, conscient des risques que ses dénonciations et ses actions engendrent pour sa liberté, voire pour sa vie. Pourtant, loin de se laisser intimider, il réaffirme sa détermination : "Je continuerai à me battre", assure-t-il.
Depuis 2016, il s’investit dans la formation de jeunes à l’engagement citoyen, comme à Tiassalé, où plus de 400 jeunes ont été accompagnés dans leur parcours vers l’université et les grandes écoles. Ces jeunes, selon Assale Tiémoko, possèdent un esprit différent, plus audacieux et porteur de valeurs constructives qui contribuent à l’essor de la société.
Aujourd’hui, il étend son initiative à l’ensemble du pays, offrant son savoir-faire à tous ceux désireux d’œuvrer à la construction d’une Côte d'Ivoire fondée sur de réelles valeurs de travail et de citoyenneté. Pour Assale Tiémoko, c’est là sa mission : inspirer et former les nouvelles générations à prendre en main le destin de leur nation.
Athanase Kangah