Yaya Fofana, président du MFA, prie pour l’unité et la réconciliation nationale en Côte d’Ivoire
Yaya Fofana, président du MFA, livre une vision profondément humaine et unie d’une Côte d’Ivoire réconciliée, où le pardon, la paix et la solidarité nationale dessinent les contours d’un avenir meilleur.
Abidjan, le 8 juin 2025 (crocinfos.net)---Dans un climat politique encore marqué par les séquelles des années de crise, le président du Mouvement des Forces d’Avenir (MFA), M. Yaya Fofana, trace une voie d’espérance, de cohésion et de renouveau pour la Côte d’Ivoire. Sa déclaration, empreinte de poésie, mais surtout de convictions profondes, sonne comme un appel vibrant à la paix et à la réconciliation véritable.
Une Côte d’Ivoire debout et apaisée « Je crois en une Côte d’Ivoire réconciliée », affirme-t-il en tête d’un texte qui, bien au-delà d’un simple slogan politique, s’apparente à une profession de foi. Pour M. Fofana, la nation ivoirienne peut guérir de ses plaies si elle choisit d’avancer unie, au-delà des clivages, des rancunes et des douleurs passées. Il imagine un pays « debout », fier de tous ses fils et filles, du nord au sud, de l’ouest à l’est, formant un tout cohérent et solidaire, même après les tempêtes.
Le pardon, moteur d’une paix durable. Dans cette vision, le pardon sincère tient une place centrale. « En la main tendue, plus forte que la guerre », écrit-il avec force. C’est une philosophie du dialogue, de l’écoute et de la parole vraie que propose le président du MFA. Un contre-pied assumé aux logiques de revanche ou de repli identitaire qui ont trop souvent jalonné la vie politique ivoirienne.
Une société de justice, de confiance et d’espoir. Yaya Fofana projette également une société où les enfants jouent en sécurité, où l’éducation retrouve sa place, où les familles vivent dans la sérénité. À travers cette vision, c’est tout un modèle de développement équitable et de justice sociale qui se dessine. « Un peuple debout, libre et vaillant » : voilà le cœur de son message.
Un rêve ivoirien à portée de main. Ce texte n’est pas un simple discours de campagne. Il porte la marque d’un homme profondément convaincu que le destin ivoirien peut être réécrit par la volonté collective. En affirmant « je crois en demain, en ce rêve ivoirien », Yaya Fofana parle à chaque citoyen, à chaque région, et à toutes les générations.
Un message fort pour une année décisive. À l’approche d’échéances politiques importantes, cette prise de parole du président du MFA pourrait bien marquer un tournant dans le débat national. Non pas en opposant les camps, mais en réunissant les aspirations autour d’un même espoir : celui d’une Côte d’Ivoire réconciliée, juste et inclusive.
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Charles Kpan